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20/03/2010

Juppé, forcément...

Juppé forcément ... .jpgRéalisation: Pierre Carles

Année de sortie: 1995

Pays: France

Durée: 58 minutes

Tourné à l'occasion des élections à la mairie de Bordeaux en 1995, ce documentaire montre comment les médias s'y sont pris pour couvrir l'événement et l'inégalité d'audience qu'ils ont allouée à chaque candidat.

Le propos avancé dans ce documentaire est que les journalistes ont une fâcheuse tendance à mettre en valeur les candidats en tête dans les sondages et à négliger voire snober les autres prétendants. En conséquence, il ne faut pas s'attendre à voir sortir des urnes - et certainement pas grâce aux médias - une personne peu et/ou mal médiatisée.

 

Enfin pris ?

Enfin pris.jpgRéalisation: Pierre Carles

Année de sortie: 2002

Pays: France

Durée: 1h33

Un documentaire où Pierre Carles règle ses comptes avec Daniel Schneidermann avec qui il avait débuté au petit écran. Séquences filmées à l'appui, il nous montre que ce dernier a retourné sa veste au point de devenir un suppôt des dominants bien que prétendant les déranger tout au long de sa carrière.

Plus largement, ce documentaire critique la télévision en tant que telle dans son incapacité à s'autocritiquer et à permettre une audition honnête des discours dissidents. Le cas particulier de Pierre Bourdieu essayant d'argumenter dans l'émission Arrêt sur images du 20 janvier 1996 la thèse qu'il a développée dans son livre Sur la télévision* figurant dans ce documentaire illustre de façon convaincante le point de vue du réalisateur.

 

 

*pierre bourdieu,daniel schneidermann,carriérisme,télévision,documentaire,pierre carles

Pas de calmants pour Jeanne

Réalisation: Pierre Carles

Année de sortie: 1996

Pays: France

Durée: 14 minutes

Ce court documentaire montre ce qui s'est passé dans les coulisses du 121ème anniversaire de Jeanne Calment (1875-1997) dans la maison de retraite où elle finissait ses jours. A savoir que lorsque des journalistes du monde entier affluèrent dans l'établissement pour se saisir de quelques images d'elle, la direction du lieu, plutôt que de leur interdire l'entrée et ainsi préserver un tant soit peu la tranquillité des résidents, s'empressa au contraire de les accueillir pour encadrer "l'événement" médiatique. La direction et les journalistes affichèrent alors leur manque total de scrupules en traitant la doyenne de France du moment comme une vulgaire marchandise.